STORRS, CONNECTICUT – La perspective d’une intelligence artificielle (IA) soulève depuis bien des années un certain nombre de questions éthiques complexes. L’accent est le plus souvent placé sur la question de savoir comment les êtres humains, créateurs de machines, peuvent et doivent faire usage des robots les plus avancés. Le débat néglige ainsi cet aspect majeur que constitue la nécessité de concevoir une éthique au niveau des machines elles-mêmes, ainsi que de donner à ces machines les moyens de résoudre les éventuels dilemmes éthiques qui pourraient se présenter à elles. Ce n’est qu’à cette condition que les machines intelligentes pourront fonctionner de manière autonome, et prendre des décisions éthiques dans le cadre des tâches qu’elles accompliront, le tout sans intervention humaine.
STORRS, CONNECTICUT – La perspective d’une intelligence artificielle (IA) soulève depuis bien des années un certain nombre de questions éthiques complexes. L’accent est le plus souvent placé sur la question de savoir comment les êtres humains, créateurs de machines, peuvent et doivent faire usage des robots les plus avancés. Le débat néglige ainsi cet aspect majeur que constitue la nécessité de concevoir une éthique au niveau des machines elles-mêmes, ainsi que de donner à ces machines les moyens de résoudre les éventuels dilemmes éthiques qui pourraient se présenter à elles. Ce n’est qu’à cette condition que les machines intelligentes pourront fonctionner de manière autonome, et prendre des décisions éthiques dans le cadre des tâches qu’elles accompliront, le tout sans intervention humaine.