NEW YORK – Malgré la baisse récente, et partielle, des taux d’intérêt réels et nominaux à long terme, les niveaux demeurent bien au-dessus de ceux auxquels les responsables politiques se sont habitués, et devraient le rester même si l’inflation diminue. Il est temps désormais de revoir l’idée qui a longtemps prévalu selon laquelle la dette publique serait « gratuite ».
NEW YORK – Malgré la baisse récente, et partielle, des taux d’intérêt réels et nominaux à long terme, les niveaux demeurent bien au-dessus de ceux auxquels les responsables politiques se sont habitués, et devraient le rester même si l’inflation diminue. Il est temps désormais de revoir l’idée qui a longtemps prévalu selon laquelle la dette publique serait « gratuite ».