NEW DELHI – Dans le règne naturel, les êtres humains se sont distingués par la complexité des outils, des techniques et des institutions qu’ils ont mises au point. Selon l’anthropologue Joseph Henrich, ce succès résulte de notre capacité à accumuler, à partager et à adapter l’information culturelle d’une génération l’autre. Mais si ces interconnexions permettent à nos « cerveaux collectifs » de se développer à mesure que le temps passe, l’inverse peut aussi se produire : l’isolement peut être cause de leur rétrécissement. Les économistes devraient en prendre note.
NEW DELHI – Dans le règne naturel, les êtres humains se sont distingués par la complexité des outils, des techniques et des institutions qu’ils ont mises au point. Selon l’anthropologue Joseph Henrich, ce succès résulte de notre capacité à accumuler, à partager et à adapter l’information culturelle d’une génération l’autre. Mais si ces interconnexions permettent à nos « cerveaux collectifs » de se développer à mesure que le temps passe, l’inverse peut aussi se produire : l’isolement peut être cause de leur rétrécissement. Les économistes devraient en prendre note.