WÜRZBURG – Il est désormais largement admis que la plupart des banques centrales ont sous-estimé la menace de l'inflation lorsqu'elles ont maintenu des taux d'intérêt extrêmement bas et des achats massifs d'actifs tout au long de l'année 2021 et jusqu'en 2022. Heureusement, lorsqu'elles ont finalement changé de cap, elles ont fait preuve d'une détermination remarquable, la Banque centrale européenne ayant relevé ses taux d'intérêt de 375 points de base en moins d'un an (et la Réserve fédérale américaine ayant relevé son taux directeur de 500 points de base).
WÜRZBURG – Il est désormais largement admis que la plupart des banques centrales ont sous-estimé la menace de l'inflation lorsqu'elles ont maintenu des taux d'intérêt extrêmement bas et des achats massifs d'actifs tout au long de l'année 2021 et jusqu'en 2022. Heureusement, lorsqu'elles ont finalement changé de cap, elles ont fait preuve d'une détermination remarquable, la Banque centrale européenne ayant relevé ses taux d'intérêt de 375 points de base en moins d'un an (et la Réserve fédérale américaine ayant relevé son taux directeur de 500 points de base).