WASHINGTON, DC – L’épidémie d’Ebola survenue l’an dernier en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia, trois des quatre pays composant l’Union du fleuve Mano, constitue la plus grave jamais observée depuis le tout premier diagnostic de cette maladie en Centrafrique, en 1976. L’impact de cette épidémie s’est révélé dévastateur, remettant en question les progrès socio-économiques considérables accomplis par nos trois pays à l’issue de dizaines d’années de conflits et d’instabilité.
WASHINGTON, DC – L’épidémie d’Ebola survenue l’an dernier en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia, trois des quatre pays composant l’Union du fleuve Mano, constitue la plus grave jamais observée depuis le tout premier diagnostic de cette maladie en Centrafrique, en 1976. L’impact de cette épidémie s’est révélé dévastateur, remettant en question les progrès socio-économiques considérables accomplis par nos trois pays à l’issue de dizaines d’années de conflits et d’instabilité.