MOSCOU – En 2007, lorsque le président russe Vladimir Poutine se rendit à Guatemala City pour soutenir la candidature de Sotchi aux jeux olympiques d’hiver de cette année, il savait que la victoire serait l’étape la plus facile du processus. Les plaisanteries sur cette candidature russe qui proposait une station balnéaire subtropicale pour les jeux d’hiver n’ont pas manqué. Les inquiétudes concernant le manque de neige sur les pentes des montagnes environnantes ou la capacité de la Russie à réaliser les infrastructures nécessaires dans le temps imparti se sont progressivement estompées depuis l’octroi des jeux à la Russie, mais une appréhension majeure demeure : celle de la menace terroriste.
MOSCOU – En 2007, lorsque le président russe Vladimir Poutine se rendit à Guatemala City pour soutenir la candidature de Sotchi aux jeux olympiques d’hiver de cette année, il savait que la victoire serait l’étape la plus facile du processus. Les plaisanteries sur cette candidature russe qui proposait une station balnéaire subtropicale pour les jeux d’hiver n’ont pas manqué. Les inquiétudes concernant le manque de neige sur les pentes des montagnes environnantes ou la capacité de la Russie à réaliser les infrastructures nécessaires dans le temps imparti se sont progressivement estompées depuis l’octroi des jeux à la Russie, mais une appréhension majeure demeure : celle de la menace terroriste.