Le capitalisme est le moteur de la croissance mondiale. Mais son dynamisme même (sa « destruction créative ») a tendance à engendrer de grandes incertitudes. Les entreprises qui n'ont pas réussi sont écartées pour laisser la place à de nouvelles entreprises plus capables et les individus qui deviennent économiquement moins productifs (souvent sans que cela soit de leur fait) peuvent également être « mis au rebut » par le marché, leur carrière interrompue et leurs investissements réduits à une fraction de leur valeur.
Le capitalisme est le moteur de la croissance mondiale. Mais son dynamisme même (sa « destruction créative ») a tendance à engendrer de grandes incertitudes. Les entreprises qui n'ont pas réussi sont écartées pour laisser la place à de nouvelles entreprises plus capables et les individus qui deviennent économiquement moins productifs (souvent sans que cela soit de leur fait) peuvent également être « mis au rebut » par le marché, leur carrière interrompue et leurs investissements réduits à une fraction de leur valeur.