CAMBRIDGE – L’ingérence de la Russie dans l’élection présidentielle américaine, de même que les suspicions de piratage des serveurs informatiques de la campagne du président français Emmanuel Macron, ne devraient surprendre personne compte tenu de la (mé)compréhension que le président Poutine se fait de la puissance douce. Comme l’avait affirmé Poutine avant sa réélection en 2012 dans un journal moscovite, « la puissance douce est un ensemble d’outils et de méthodes permettant d’atteindre des objectifs de politique étrangère sans recourir à la force, via l’information et d’autres moyens d’influence ».
CAMBRIDGE – L’ingérence de la Russie dans l’élection présidentielle américaine, de même que les suspicions de piratage des serveurs informatiques de la campagne du président français Emmanuel Macron, ne devraient surprendre personne compte tenu de la (mé)compréhension que le président Poutine se fait de la puissance douce. Comme l’avait affirmé Poutine avant sa réélection en 2012 dans un journal moscovite, « la puissance douce est un ensemble d’outils et de méthodes permettant d’atteindre des objectifs de politique étrangère sans recourir à la force, via l’information et d’autres moyens d’influence ».