BANGKOK – Confrontés à des soulèvements populaires – des révolutions de couleur dans les pays satellites de l’ancienne Union soviétique aux mouvements de contestation du Printemps arabe – mettant en cause la légitimité de leurs homologues, des autocrates au pouvoir ont entrepris d’adopter des mesures législatives relatives au cyber-espace visant à neutraliser les groupes de la société civile, dont les mouvements pro-démocratie et les ONG de défense des droits humains. Les mesures les plus radicales permettent aux autorités de suivre et de sanctionner les activités en lignes des activistes.
BANGKOK – Confrontés à des soulèvements populaires – des révolutions de couleur dans les pays satellites de l’ancienne Union soviétique aux mouvements de contestation du Printemps arabe – mettant en cause la légitimité de leurs homologues, des autocrates au pouvoir ont entrepris d’adopter des mesures législatives relatives au cyber-espace visant à neutraliser les groupes de la société civile, dont les mouvements pro-démocratie et les ONG de défense des droits humains. Les mesures les plus radicales permettent aux autorités de suivre et de sanctionner les activités en lignes des activistes.