DUBAÏ – Il y a une dizaine d’années, les fonds souverains (FSv) de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MOAN) débarquaient tels des mastodontes sur la scène financière internationale. Plusieurs d’entre eux, tels que le fonds Qatar Investment Authority (QIA), allaient ainsi faire les gros titres en engloutissant un certain nombre d’actifs – titres cotés, sociétés privées, bien immobiliers – principalement situés en Europe et en Amérique du Nord. Seulement voilà, le monde au sein duquel investissent les FSv a désormais changé, et il appartient à ces fonds d’évoluer avec lui.
DUBAÏ – Il y a une dizaine d’années, les fonds souverains (FSv) de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MOAN) débarquaient tels des mastodontes sur la scène financière internationale. Plusieurs d’entre eux, tels que le fonds Qatar Investment Authority (QIA), allaient ainsi faire les gros titres en engloutissant un certain nombre d’actifs – titres cotés, sociétés privées, bien immobiliers – principalement situés en Europe et en Amérique du Nord. Seulement voilà, le monde au sein duquel investissent les FSv a désormais changé, et il appartient à ces fonds d’évoluer avec lui.