OXFORD – Avant même que le nouveau coronavirus fasse la une des médias, un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) mettait en garde contre le fait que le monde n’était pas prêt à faire face à une « pandémie d'agents pathogènes respiratoires virulents se propageant rapidement » qui pourrait tuer de 50 et 80 millions de personnes, provoquer la panique, déstabiliser la sécurité nationale et avoir de graves répercussions sur l'économie et le commerce mondiaux. L’expérience des quelques 200 dernières années a démontré que seule une action concertée des gouvernements est en mesure d’enrayer efficacement une telle pandémie – et même alors, seulement si les citoyens les soutiennent et leur font confiance. Cette conjoncture met en évidence trois défis que devront relever les dirigeants politiques pour combattre la maladie infectieuse due au nouveau coronavirus, désormais connue sous le nom de COVID-19.
OXFORD – Avant même que le nouveau coronavirus fasse la une des médias, un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) mettait en garde contre le fait que le monde n’était pas prêt à faire face à une « pandémie d'agents pathogènes respiratoires virulents se propageant rapidement » qui pourrait tuer de 50 et 80 millions de personnes, provoquer la panique, déstabiliser la sécurité nationale et avoir de graves répercussions sur l'économie et le commerce mondiaux. L’expérience des quelques 200 dernières années a démontré que seule une action concertée des gouvernements est en mesure d’enrayer efficacement une telle pandémie – et même alors, seulement si les citoyens les soutiennent et leur font confiance. Cette conjoncture met en évidence trois défis que devront relever les dirigeants politiques pour combattre la maladie infectieuse due au nouveau coronavirus, désormais connue sous le nom de COVID-19.