NOTTINGHAM – Près de la moitié de la population mondiale vit en confinement suite à la pandémie de COVID-19. Ces mesures de confinement ont beau ralentir la diffusion du coronavirus, en revanche elles accélèrent les progrès d'un autre phénomène insidieux : les théories du complot. Nous éprouvons les pires craintes pour notre vie, nos moyens de subsistance, ou encore au sujet de nos proches, alors même que nous vivons cette situation de mise à distance physique. Cette atmosphère de crainte devient un bouillon de culture qui déclenche une affabulation paranoïaque.
NOTTINGHAM – Près de la moitié de la population mondiale vit en confinement suite à la pandémie de COVID-19. Ces mesures de confinement ont beau ralentir la diffusion du coronavirus, en revanche elles accélèrent les progrès d'un autre phénomène insidieux : les théories du complot. Nous éprouvons les pires craintes pour notre vie, nos moyens de subsistance, ou encore au sujet de nos proches, alors même que nous vivons cette situation de mise à distance physique. Cette atmosphère de crainte devient un bouillon de culture qui déclenche une affabulation paranoïaque.