SEATTLE – Avant même que nous puissions oublier les horreurs de la dernière épidémie Ebola en Afrique de l’Ouest, le virus de Zika a émergé comme risque majeur pour la santé mondiale et occupe des chercheurs et médecins en Amérique du Sud, en Amérique centrale et dans les Caraïbes. Or, c’est un autre virus, la fièvre jaune, dont le taux de mortalité grimpe encore plus rapidement.
SEATTLE – Avant même que nous puissions oublier les horreurs de la dernière épidémie Ebola en Afrique de l’Ouest, le virus de Zika a émergé comme risque majeur pour la santé mondiale et occupe des chercheurs et médecins en Amérique du Sud, en Amérique centrale et dans les Caraïbes. Or, c’est un autre virus, la fièvre jaune, dont le taux de mortalité grimpe encore plus rapidement.