CAMBRIDGE – Le super-cycle mondial des matières premières n’est pas un phénomène nouveau. Bien que les détails varient, les exportateurs de matières premières ont tendance à jouer la même pièce et les résultats économiques ont tendance à suivre des modèles reconnaissables. Cependant, l'élément de prévisibilité de la trajectoire suivie par le cycle des matières premières, tout comme dans le cas des montagnes russes, ne rend pas ses rebondissements plus faciles à supporter.
CAMBRIDGE – Le super-cycle mondial des matières premières n’est pas un phénomène nouveau. Bien que les détails varient, les exportateurs de matières premières ont tendance à jouer la même pièce et les résultats économiques ont tendance à suivre des modèles reconnaissables. Cependant, l'élément de prévisibilité de la trajectoire suivie par le cycle des matières premières, tout comme dans le cas des montagnes russes, ne rend pas ses rebondissements plus faciles à supporter.