LONDRES – Les projecteurs se sont maintenant éteints sur la conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP27) en Égypte, mais de nombreuses questions demeurent sans réponse sur le mode de financement des réductions des émissions et de l’adaptation. Le monde ne pourra empêcher le réchauffement planétaire d’atteindre des niveaux dangereux sans augmenter substantiellement les investissements dans les pays en développement. Si ces pays s’engagent sur la voie du développement en restant dépendant des carburants fossiles et des technologies polluantes, ils deviendront la plus grande source de croissance des émissions dans les prochaines décennies.
LONDRES – Les projecteurs se sont maintenant éteints sur la conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP27) en Égypte, mais de nombreuses questions demeurent sans réponse sur le mode de financement des réductions des émissions et de l’adaptation. Le monde ne pourra empêcher le réchauffement planétaire d’atteindre des niveaux dangereux sans augmenter substantiellement les investissements dans les pays en développement. Si ces pays s’engagent sur la voie du développement en restant dépendant des carburants fossiles et des technologies polluantes, ils deviendront la plus grande source de croissance des émissions dans les prochaines décennies.