DENVER – L'accord conclu à Genève entre l'Iran et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies plus l'Allemagne (qu’on appelle les P5 +1) est un excellent point de départ au processus difficile consistant à dissuader l'Iran de chercher à devenir la nouvelle puissance mondiale détentrice d’armes nucléaires. Il est trop tôt pour considérer l'accord comme un succès historique, mais il est aussi beaucoup trop pour déclarer qu’il s’agit d’un échec ou pour suggérer que de meilleurs négociateurs seraient parvenus d’une manière ou une autre à arracher des concessions plus importantes à leurs homologues iraniens.
DENVER – L'accord conclu à Genève entre l'Iran et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies plus l'Allemagne (qu’on appelle les P5 +1) est un excellent point de départ au processus difficile consistant à dissuader l'Iran de chercher à devenir la nouvelle puissance mondiale détentrice d’armes nucléaires. Il est trop tôt pour considérer l'accord comme un succès historique, mais il est aussi beaucoup trop pour déclarer qu’il s’agit d’un échec ou pour suggérer que de meilleurs négociateurs seraient parvenus d’une manière ou une autre à arracher des concessions plus importantes à leurs homologues iraniens.