CAMBRIDGE (MASS.) – Le XXe Congrès du parti communiste chinois, qui a donné à Xi Jinping un inédit troisième mandat de secrétaire général, a aussi été l’occasion d’un remaniement de la direction, dont les technocrates promarché ont été évincés et remplacés par des cadres promus pour leur loyauté. Cette évolution soulève des questions sur les intentions chinoises dans un contexte de ralentissement de l’économie. Car un excès de contrôles publics sur l’économie constitue une recette éprouvée pour emprisonner le pays dans ce piège du revenu moyen que les dirigeants chinois s’étaient depuis si longtemps juré d’éviter.
CAMBRIDGE (MASS.) – Le XXe Congrès du parti communiste chinois, qui a donné à Xi Jinping un inédit troisième mandat de secrétaire général, a aussi été l’occasion d’un remaniement de la direction, dont les technocrates promarché ont été évincés et remplacés par des cadres promus pour leur loyauté. Cette évolution soulève des questions sur les intentions chinoises dans un contexte de ralentissement de l’économie. Car un excès de contrôles publics sur l’économie constitue une recette éprouvée pour emprisonner le pays dans ce piège du revenu moyen que les dirigeants chinois s’étaient depuis si longtemps juré d’éviter.