HONG KONG – A la suite de la dislocation de l’Union soviétique en 1991, le Parti communiste chinois (PCC) a développé une obsession quant aux raisons qui pouvait expliquer cet événement. Les groupes de réflexion du gouvernement chargés de cette tâche ont essentiellement fait porter le chapeau à Mikhaïl Gorbatchev, le dirigeant réformiste qui n’était simplement pas assez impitoyable pour préserver la cohésion du bloc soviétique. Mais les analystes de l’époque ont également souligné d’autres facteurs importants qui ne semblent pas avoir été pris en compte par les dirigeants chinois actuels.
HONG KONG – A la suite de la dislocation de l’Union soviétique en 1991, le Parti communiste chinois (PCC) a développé une obsession quant aux raisons qui pouvait expliquer cet événement. Les groupes de réflexion du gouvernement chargés de cette tâche ont essentiellement fait porter le chapeau à Mikhaïl Gorbatchev, le dirigeant réformiste qui n’était simplement pas assez impitoyable pour préserver la cohésion du bloc soviétique. Mais les analystes de l’époque ont également souligné d’autres facteurs importants qui ne semblent pas avoir été pris en compte par les dirigeants chinois actuels.