CAMBRIDGE – En visite à Pékin, au mois d’octobre, je me suis souvent entendu demander si les sévères critiques émises par le vice-président des États-Unis, Mike Pence, à l’égard de la Chine pouvaient être considérées comme la déclaration d’une nouvelle guerre froide. À quoi j’ai répondu que les États-Unis et la Chine étaient entrés dans une nouvelle phase de leurs relations, mais pour laquelle la métaphore de la guerre froide était trompeuse.
CAMBRIDGE – En visite à Pékin, au mois d’octobre, je me suis souvent entendu demander si les sévères critiques émises par le vice-président des États-Unis, Mike Pence, à l’égard de la Chine pouvaient être considérées comme la déclaration d’une nouvelle guerre froide. À quoi j’ai répondu que les États-Unis et la Chine étaient entrés dans une nouvelle phase de leurs relations, mais pour laquelle la métaphore de la guerre froide était trompeuse.