NEW YORK – À l’issue de sept années de travail, qui ont abouti à la présentation de 12 dossiers réunissant preuves, découvertes, conclusions et synthèse analytique, le rapport de la Commission d’enquête sur le déclenchement de la guerre en Irak, plus connu sous le nom de rapport Chilcot (du nom de son président Sir John Chilcot), est désormais mis à la disposition de tous. Il faut s’attendre à ce que peu de gens le lisent en intégralité, le résumé de ce rapport (qui s’étend sur plus de 100 pages) étant si exhaustif qu’il en nécessiterait sa propre synthèse.
NEW YORK – À l’issue de sept années de travail, qui ont abouti à la présentation de 12 dossiers réunissant preuves, découvertes, conclusions et synthèse analytique, le rapport de la Commission d’enquête sur le déclenchement de la guerre en Irak, plus connu sous le nom de rapport Chilcot (du nom de son président Sir John Chilcot), est désormais mis à la disposition de tous. Il faut s’attendre à ce que peu de gens le lisent en intégralité, le résumé de ce rapport (qui s’étend sur plus de 100 pages) étant si exhaustif qu’il en nécessiterait sa propre synthèse.