NEW YORK – La pire décision de politique étrangère prise par les États-Unis au cours de la dernière génération – et peut-être pour longtemps encore – aura été la « guerre de choix » lancée contre l’Irak en 2003, prétendument destinée à éliminer des armes de destruction massives qui en fin de compte n’existaient pas. La nécessité de comprendre la logique défaillante derrière cette décision désastreuse n’a jamais été aussi importante qu’aujourd’hui, dans la mesure où cette logique est a nouveau appliquée pour justifier actuellement une politique américaine tout aussi malavisée.
NEW YORK – La pire décision de politique étrangère prise par les États-Unis au cours de la dernière génération – et peut-être pour longtemps encore – aura été la « guerre de choix » lancée contre l’Irak en 2003, prétendument destinée à éliminer des armes de destruction massives qui en fin de compte n’existaient pas. La nécessité de comprendre la logique défaillante derrière cette décision désastreuse n’a jamais été aussi importante qu’aujourd’hui, dans la mesure où cette logique est a nouveau appliquée pour justifier actuellement une politique américaine tout aussi malavisée.