CAMBRIDGE (MASS.) – À en juger par la fréquence à laquelle apparaissent aujourd’hui, dans les discours des banquiers centraux, les expressions de « croissance équitable » ou d’« empreinte distributive de la politique monétaire », on ne peut douter qu’en un temps où s’avivent les inquiétudes concernant le creusement des inégalités, la pression s’en fasse sentir sur les responsables de ladite politique monétaire. Mais celle-ci est-elle vraiment la clé du problème et constitue-t-elle le bon outil de redistribution des revenus ?
CAMBRIDGE (MASS.) – À en juger par la fréquence à laquelle apparaissent aujourd’hui, dans les discours des banquiers centraux, les expressions de « croissance équitable » ou d’« empreinte distributive de la politique monétaire », on ne peut douter qu’en un temps où s’avivent les inquiétudes concernant le creusement des inégalités, la pression s’en fasse sentir sur les responsables de ladite politique monétaire. Mais celle-ci est-elle vraiment la clé du problème et constitue-t-elle le bon outil de redistribution des revenus ?