NEW-YORK – Rien n'illustre mieux les divergences politiques, la présence d'intérêts particuliers et les considérations économiques à court terme à l'œuvre en Europe que le débat sur la restructuration de la dette souveraine de la Grèce. L'Allemagne veut une restructuration en profondeur - une réduction d'au moins 50% de la dette pour les détenteurs d'obligations - alors que la Banque centrale européenne demande à ce que la restructuration se fasse sur la base du volontariat.
NEW-YORK – Rien n'illustre mieux les divergences politiques, la présence d'intérêts particuliers et les considérations économiques à court terme à l'œuvre en Europe que le débat sur la restructuration de la dette souveraine de la Grèce. L'Allemagne veut une restructuration en profondeur - une réduction d'au moins 50% de la dette pour les détenteurs d'obligations - alors que la Banque centrale européenne demande à ce que la restructuration se fasse sur la base du volontariat.