PARIS – Jusqu'à présent, les événements de 2012 confirment une nouvelle dissymétrie mondiale. Pris entre une insécurité financière sans précédent et une perspective économique des plus sombres, les pays riches de l'OCDE et leurs classes moyennes craignent un affaiblissement géopolitique et une mobilité sociale vers le bas. Néanmoins, dans la plus grande partie de l'Asie, de l'Afrique et de l'Amérique latine, l'optimisme règne.
PARIS – Jusqu'à présent, les événements de 2012 confirment une nouvelle dissymétrie mondiale. Pris entre une insécurité financière sans précédent et une perspective économique des plus sombres, les pays riches de l'OCDE et leurs classes moyennes craignent un affaiblissement géopolitique et une mobilité sociale vers le bas. Néanmoins, dans la plus grande partie de l'Asie, de l'Afrique et de l'Amérique latine, l'optimisme règne.