SEOUL – Tandis que la Chine poursuit sa croissance implacable, les peuples de l’Asie de l’est se demandent s’ils pourront un jour entretenir des relations stables et pacifiques tel que l’Europe en connaît aujourd’hui. Etant donné la régularité des grosses prises de bec – à propos d’à peu près tout, depuis de minuscules atolls dans le sud de la mer de Chine jusqu’à l’héritage de la Deuxième Guerre Mondiale – cela peut sembler un vain rêve. Pourtant, la montée puissante du nationalisme et des budgets militaires rend impérative l’obtention d’une stabilité de consensus dans la région. Est-ce possible ?
SEOUL – Tandis que la Chine poursuit sa croissance implacable, les peuples de l’Asie de l’est se demandent s’ils pourront un jour entretenir des relations stables et pacifiques tel que l’Europe en connaît aujourd’hui. Etant donné la régularité des grosses prises de bec – à propos d’à peu près tout, depuis de minuscules atolls dans le sud de la mer de Chine jusqu’à l’héritage de la Deuxième Guerre Mondiale – cela peut sembler un vain rêve. Pourtant, la montée puissante du nationalisme et des budgets militaires rend impérative l’obtention d’une stabilité de consensus dans la région. Est-ce possible ?