En novembre dernier, les élections du Congrès ont vivement rabroué le Président George W. Bush et sa politique en Irak. Peu après, le groupe d’études sur l’Irak proposait une formule bipartite concernant le retrait progressif des troupes américaines – que Bush rejeta pour continuer à évoquer une victoire, même si désormais le sens de cette « victoire » nous échappe. C’est peut‑être parce que l’Irak devra définir ce que les Américains ont laissé derrière eux qu’il refuse de laisser sa politique passer pour un fiasco.
En novembre dernier, les élections du Congrès ont vivement rabroué le Président George W. Bush et sa politique en Irak. Peu après, le groupe d’études sur l’Irak proposait une formule bipartite concernant le retrait progressif des troupes américaines – que Bush rejeta pour continuer à évoquer une victoire, même si désormais le sens de cette « victoire » nous échappe. C’est peut‑être parce que l’Irak devra définir ce que les Américains ont laissé derrière eux qu’il refuse de laisser sa politique passer pour un fiasco.