LONDRES – Alors que la Grande-Bretagne a officiellement déclenché les tristes négociations qui vont la conduire à s’exclure elle-même du jeu politique et économique européen, la Première ministre Theresa May refuse d’employer le mot « divorce » pour nommer la procédure en cours. À juste titre, se pourrait-il, pense ma femme, retirée du barreau, qui fut avocate en droit de la famille et médiatrice. Car nous laissons au domicile familial une bonne part de notre histoire et de l’argenterie de famille, mais aussi de notre avenir économique. Le divorce, dans une telle situation, n’est pas véritablement le bon choix.
LONDRES – Alors que la Grande-Bretagne a officiellement déclenché les tristes négociations qui vont la conduire à s’exclure elle-même du jeu politique et économique européen, la Première ministre Theresa May refuse d’employer le mot « divorce » pour nommer la procédure en cours. À juste titre, se pourrait-il, pense ma femme, retirée du barreau, qui fut avocate en droit de la famille et médiatrice. Car nous laissons au domicile familial une bonne part de notre histoire et de l’argenterie de famille, mais aussi de notre avenir économique. Le divorce, dans une telle situation, n’est pas véritablement le bon choix.