PARIS – Le président des États-Unis Franklin Delano Roosevelt l’affirmait autrefois : « La seule chose que nous devons craindre, c’est la peur elle-même. » Le référendum du Brexit, lors duquel un peu plus de la moitié des électeurs du Royaume-Uni ont voté en faveur d’une sortie de l’Union européenne, nous montre aujourd’hui qu’il n’avait pas tout à fait raison. Nous devons aussi craindre ces gens qui exploitent, comme l’on fait les dirigeants populistes en Grande-Bretagne, les peurs de leurs semblables et provoquent des désastres véritablement effrayants. Ce qu’ils sont parvenus à provoquer pourrait bien conduire, cette fois, à la désintégration de l’UE.
PARIS – Le président des États-Unis Franklin Delano Roosevelt l’affirmait autrefois : « La seule chose que nous devons craindre, c’est la peur elle-même. » Le référendum du Brexit, lors duquel un peu plus de la moitié des électeurs du Royaume-Uni ont voté en faveur d’une sortie de l’Union européenne, nous montre aujourd’hui qu’il n’avait pas tout à fait raison. Nous devons aussi craindre ces gens qui exploitent, comme l’on fait les dirigeants populistes en Grande-Bretagne, les peurs de leurs semblables et provoquent des désastres véritablement effrayants. Ce qu’ils sont parvenus à provoquer pourrait bien conduire, cette fois, à la désintégration de l’UE.