PARIS – « Les États-Unis, la Chine, et peut-être l’Union européenne, si toutefois la Grande-Bretagne continue d’en faire partie » dirigeront le monde de demain ; en réalité, le Royaume-Uni n’a d’autre voie, s’il souhaite s’assurer « un avenir digne de son passé » que de se maintenir dans l’UE. Une opinion qui pourrait venir en droite ligne du vieux discours français sur la poursuite de la grandeur par l’intégration européenne. Une opinion qui n’est autre, pourtant, que celle de Gordon Brown, qui fut Premier ministre d’un gouvernement britannique travailliste.
PARIS – « Les États-Unis, la Chine, et peut-être l’Union européenne, si toutefois la Grande-Bretagne continue d’en faire partie » dirigeront le monde de demain ; en réalité, le Royaume-Uni n’a d’autre voie, s’il souhaite s’assurer « un avenir digne de son passé » que de se maintenir dans l’UE. Une opinion qui pourrait venir en droite ligne du vieux discours français sur la poursuite de la grandeur par l’intégration européenne. Une opinion qui n’est autre, pourtant, que celle de Gordon Brown, qui fut Premier ministre d’un gouvernement britannique travailliste.