SAO PAULO – L’assaut survenu ce weekend contre les institutions démocratiques du Brésil n’est pas un « accident » spontané. Depuis plusieurs mois, théories conspirationnistes et appels au coup d’État militaire circulaient en effet sur les réseaux sociaux d’extrême droite, et se sont comme l’on pouvait s’y attendre intensifiés après la victoire de Luiz Inácio Lula da Silva face à Jair Bolsonaro à l’élection présidentielle d’octobre dernier, pour enfin culminer durant les jours ayant précédé les manifestations de ce weekend, qui ont agité le plus étendu des pays d’Amérique latine.
SAO PAULO – L’assaut survenu ce weekend contre les institutions démocratiques du Brésil n’est pas un « accident » spontané. Depuis plusieurs mois, théories conspirationnistes et appels au coup d’État militaire circulaient en effet sur les réseaux sociaux d’extrême droite, et se sont comme l’on pouvait s’y attendre intensifiés après la victoire de Luiz Inácio Lula da Silva face à Jair Bolsonaro à l’élection présidentielle d’octobre dernier, pour enfin culminer durant les jours ayant précédé les manifestations de ce weekend, qui ont agité le plus étendu des pays d’Amérique latine.