CAMBRIDGE – La profession d’économiste est sans doute la première victime de la crise financière mondiale de 2008-2009. Après tout, les praticiens de l’économie n’ont pas su anticiper la catastrophe, et beaucoup ont été incapables de formuler quoi que ce soit d’utile lorsqu’il s’est agi d’élaborer une réponse. Il existe néanmoins des raisons d’espérer une guérison prochaine de la discipline économique, ainsi que de l’économie mondiale.
CAMBRIDGE – La profession d’économiste est sans doute la première victime de la crise financière mondiale de 2008-2009. Après tout, les praticiens de l’économie n’ont pas su anticiper la catastrophe, et beaucoup ont été incapables de formuler quoi que ce soit d’utile lorsqu’il s’est agi d’élaborer une réponse. Il existe néanmoins des raisons d’espérer une guérison prochaine de la discipline économique, ainsi que de l’économie mondiale.