WASHINGTON, DC – « Actuellement, ce ne sont pas les travailleurs qui implorent les employeurs de leur offrir un poste, mais les employeurs qui doivent rivaliser pour embaucher des travailleurs américains », tweetait au mois d’août le président américain Joe Biden. En réalité, de nombreuses sociétés ne se livrent pas à cette bataille du recrutement, préférant user de clauses de non-concurrence pour maintenir en place leurs employés, de plus en plus d’employeurs décidant en effet de poursuivre en justice leurs employés, leur reprochant de s’être intéressés à de nouvelles opportunités dans une autre entreprise. Plusieurs dizaines de millions d’employés aux États-Unis sont aujourd’hui soumis à un contrat qui les oblige à demeurer à leur poste actuel en dépit de meilleures opportunités ailleurs, ce qui limite leur liberté d’accepter un poste professionnel ou de créer une entreprise dans leur domaine d’activité.
WASHINGTON, DC – « Actuellement, ce ne sont pas les travailleurs qui implorent les employeurs de leur offrir un poste, mais les employeurs qui doivent rivaliser pour embaucher des travailleurs américains », tweetait au mois d’août le président américain Joe Biden. En réalité, de nombreuses sociétés ne se livrent pas à cette bataille du recrutement, préférant user de clauses de non-concurrence pour maintenir en place leurs employés, de plus en plus d’employeurs décidant en effet de poursuivre en justice leurs employés, leur reprochant de s’être intéressés à de nouvelles opportunités dans une autre entreprise. Plusieurs dizaines de millions d’employés aux États-Unis sont aujourd’hui soumis à un contrat qui les oblige à demeurer à leur poste actuel en dépit de meilleures opportunités ailleurs, ce qui limite leur liberté d’accepter un poste professionnel ou de créer une entreprise dans leur domaine d’activité.