CHICAGO – La veille de l’investiture du président américain Joe Biden, les défenseurs de l’immigration étaient optimistes quant à la perspective de voir l’administration mettre fin au dispositif « Title 42 », règle obscure qui permettait durant la pandémie de COVID-19 aux agents des frontières de repousser des migrants qui en d’autres circonstances auraient pu être admissibles au droit d’asile. Dans mes recherches pour l’écriture de mon ouvrage à paraître intitulé Precarious Protections, j’avais interviewé des avocats en charge de la défense d’enfants immigrants non accompagnés, à Los Angeles, qui étaient persuadés que la nouvelle administration rétablirait le droit de demande l’asile aux États-Unis. Cela n’a pas eu lieu.
CHICAGO – La veille de l’investiture du président américain Joe Biden, les défenseurs de l’immigration étaient optimistes quant à la perspective de voir l’administration mettre fin au dispositif « Title 42 », règle obscure qui permettait durant la pandémie de COVID-19 aux agents des frontières de repousser des migrants qui en d’autres circonstances auraient pu être admissibles au droit d’asile. Dans mes recherches pour l’écriture de mon ouvrage à paraître intitulé Precarious Protections, j’avais interviewé des avocats en charge de la défense d’enfants immigrants non accompagnés, à Los Angeles, qui étaient persuadés que la nouvelle administration rétablirait le droit de demande l’asile aux États-Unis. Cela n’a pas eu lieu.