EDIMBOURG – Le journalisme a toujours été « la première esquisse de l’histoire », prétend l’adage. Sans doute les meilleurs journalistes parviennent-ils à s’approcher de cet objectif ambitieux. Dans le cas de la crise financière majeure de 2008, c’est Andrew Ross Sorkin du New York Times quia fait honneur au proverbe, à travers son ouvrage intitulé Too Big to Fail, qui reste aujourd’hui une description utile de ce qui a été ressenti à Wall Street lorsque les marchés ont commencé à s’effondré. Sorkin avait en effet pu échanger étroitement avec les principaux acteurs impliqués.
EDIMBOURG – Le journalisme a toujours été « la première esquisse de l’histoire », prétend l’adage. Sans doute les meilleurs journalistes parviennent-ils à s’approcher de cet objectif ambitieux. Dans le cas de la crise financière majeure de 2008, c’est Andrew Ross Sorkin du New York Times quia fait honneur au proverbe, à travers son ouvrage intitulé Too Big to Fail, qui reste aujourd’hui une description utile de ce qui a été ressenti à Wall Street lorsque les marchés ont commencé à s’effondré. Sorkin avait en effet pu échanger étroitement avec les principaux acteurs impliqués.