LONDRES – Depuis deux semaines, le monde se perd en conjectures sur le comportement qu’adoptera le président élu Donald Trump et sur les politiques qu’il suivra lorsqu’il entrera en fonctions, après une longue campagne, où se sont succédé les affirmations contradictoires. Les présidents-hommes d’affaires qu’a déjà connus l’Amérique, Warren G. Harding et Herbert Hoover, ont exercé leur charge voici trop longtemps pour que leurs mandats puissent nous fournir des indices. En revanche, il existe un précédent européen, et il ne date que d’hier : Silvio Berlusconi, en Italie.
LONDRES – Depuis deux semaines, le monde se perd en conjectures sur le comportement qu’adoptera le président élu Donald Trump et sur les politiques qu’il suivra lorsqu’il entrera en fonctions, après une longue campagne, où se sont succédé les affirmations contradictoires. Les présidents-hommes d’affaires qu’a déjà connus l’Amérique, Warren G. Harding et Herbert Hoover, ont exercé leur charge voici trop longtemps pour que leurs mandats puissent nous fournir des indices. En revanche, il existe un précédent européen, et il ne date que d’hier : Silvio Berlusconi, en Italie.