PARIS – « Je n’ai pas peur », clamait la foule qui s’est emparée des rues de Barcelone après qu’une camionnette a foncé sur les promeneurs des Ramblas, tuant au moins 14 personnes et en blessant 130 autres. C’était la réponse la plus digne et la plus juste possible à cet attentat terroriste, une claire manifestation d’unité, par-delà les divisions internes. Si les fractures entre Espagnols et Catalans, pour ne citer qu’elles, réapparaîtront sûrement avant peu, cette logique d’unité doit continuer à prévaloir.
PARIS – « Je n’ai pas peur », clamait la foule qui s’est emparée des rues de Barcelone après qu’une camionnette a foncé sur les promeneurs des Ramblas, tuant au moins 14 personnes et en blessant 130 autres. C’était la réponse la plus digne et la plus juste possible à cet attentat terroriste, une claire manifestation d’unité, par-delà les divisions internes. Si les fractures entre Espagnols et Catalans, pour ne citer qu’elles, réapparaîtront sûrement avant peu, cette logique d’unité doit continuer à prévaloir.