NEW YORK – Le monde dans lequel nous vivons révèle bien souvent sa nature avec plus de clarté lorsqu’il est dépeint sous le prisme de l’art. Beaucoup a été écrit sur l’après-communisme en Russie et en Chine. Mais voici que deux sorties cinématographiques récentes, d’une part A Touch of Sin de Jia Zhangke, réalisé en Chine en 2013, et d’autre part Leviathan de Andrey Zvyagintsev, film russe de 2014, viennent mettre en lumière le paysage social et politique de ces deux pays, d’une manière plus pertinente que n’importe quelle publication qu’il m’ait été donné de lire.
NEW YORK – Le monde dans lequel nous vivons révèle bien souvent sa nature avec plus de clarté lorsqu’il est dépeint sous le prisme de l’art. Beaucoup a été écrit sur l’après-communisme en Russie et en Chine. Mais voici que deux sorties cinématographiques récentes, d’une part A Touch of Sin de Jia Zhangke, réalisé en Chine en 2013, et d’autre part Leviathan de Andrey Zvyagintsev, film russe de 2014, viennent mettre en lumière le paysage social et politique de ces deux pays, d’une manière plus pertinente que n’importe quelle publication qu’il m’ait été donné de lire.