NEW YORK – Il y a un mois, en Birmanie, les manifestants opposés au coup d’État militaire se rassemblaient autour de l’ambassade américaine de Rangoun, pour appeler le président Joe Biden à demander aux généraux de regagner leur caserne et de libérer Aung San Suu Kyi. Le parti qu’elle dirige, la Ligue nationale pour la démocratie (LND), avait remporté une victoire écrasante aux élections législatives de 2020, ce qui avait conduit les généraux, qui redoutaient de perdre leurs privilèges, à s’emparer du pouvoir.
NEW YORK – Il y a un mois, en Birmanie, les manifestants opposés au coup d’État militaire se rassemblaient autour de l’ambassade américaine de Rangoun, pour appeler le président Joe Biden à demander aux généraux de regagner leur caserne et de libérer Aung San Suu Kyi. Le parti qu’elle dirige, la Ligue nationale pour la démocratie (LND), avait remporté une victoire écrasante aux élections législatives de 2020, ce qui avait conduit les généraux, qui redoutaient de perdre leurs privilèges, à s’emparer du pouvoir.