A la fin des années 1970 au début de l'ouverture de la Chine, Deng Xiaoping, l'artisan de cette ouverture, à déclaré "Peu importe que le chat soit blanc ou noir, pourvu qu'il attrape la souris". Cette devise a contribué à précipiter la Chine dans ce qu'elle est devenue aujourd'hui, un pays de plus en plus matérialiste, une société qui idolâtre l'argent et qui a perdu ses valeurs éthiques. Rien n'exprime mieux ce vide spirituel que la récente série télévisée, Wo Ju (Des chambres surpeuplées) qui a collé devant le petit écran les téléspectateurs chinois.
A la fin des années 1970 au début de l'ouverture de la Chine, Deng Xiaoping, l'artisan de cette ouverture, à déclaré "Peu importe que le chat soit blanc ou noir, pourvu qu'il attrape la souris". Cette devise a contribué à précipiter la Chine dans ce qu'elle est devenue aujourd'hui, un pays de plus en plus matérialiste, une société qui idolâtre l'argent et qui a perdu ses valeurs éthiques. Rien n'exprime mieux ce vide spirituel que la récente série télévisée, Wo Ju (Des chambres surpeuplées) qui a collé devant le petit écran les téléspectateurs chinois.