MILAN / STANFORD – À la fin du mois de juillet, les sondages d’opinion indiquaient clairement que le président des États-Unis Donald Trump avait perdu du terrain face à son adversaire démocrate Joe Biden dans la campagne présidentielle qui s’engageait, en raison, principalement, de la mauvaise gestion par son administration de la pandémie de Covid-19. Depuis lors, les chances de Trump n’ont pas augmenté, et même ont encore diminué. Aujourd’hui, Trump paraît non seulement devoir perdre le vote populaire le 3 novembre, mais aussi devoir échouer à remporter le Collège électoral, comme il l’avait fait en 2016.
MILAN / STANFORD – À la fin du mois de juillet, les sondages d’opinion indiquaient clairement que le président des États-Unis Donald Trump avait perdu du terrain face à son adversaire démocrate Joe Biden dans la campagne présidentielle qui s’engageait, en raison, principalement, de la mauvaise gestion par son administration de la pandémie de Covid-19. Depuis lors, les chances de Trump n’ont pas augmenté, et même ont encore diminué. Aujourd’hui, Trump paraît non seulement devoir perdre le vote populaire le 3 novembre, mais aussi devoir échouer à remporter le Collège électoral, comme il l’avait fait en 2016.