MADRID – Le mois dernier, tandis que l’attention du monde était concentrée sur la crise de Crimée et les recherches autour du vol 370 de la Malaysian Airlines, le dernier cycle de négociation entre l’Iran et le P5+1 (groupe réunissant les États-Unis, la Chine, la France, la Russie et le Royaume-Uni, auxquels s’ajoute l’Allemagne) se déroulait à Vienne sans que personne n’en parle. Bien qu’il soit prévu que les discussions se poursuivent au cours de la semaine prochaine, l’issue des pourparlers demeure extrêmement incertaine – les responsables mondiaux ne pouvant par ailleurs se permettre de relâcher leurs efforts.
MADRID – Le mois dernier, tandis que l’attention du monde était concentrée sur la crise de Crimée et les recherches autour du vol 370 de la Malaysian Airlines, le dernier cycle de négociation entre l’Iran et le P5+1 (groupe réunissant les États-Unis, la Chine, la France, la Russie et le Royaume-Uni, auxquels s’ajoute l’Allemagne) se déroulait à Vienne sans que personne n’en parle. Bien qu’il soit prévu que les discussions se poursuivent au cours de la semaine prochaine, l’issue des pourparlers demeure extrêmement incertaine – les responsables mondiaux ne pouvant par ailleurs se permettre de relâcher leurs efforts.