MADRID – Antérieurement à sa désignation au poste de président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker n’a cessé de subir la foudre de détracteurs le décrivant comme un fédéraliste de la vielle école, dont il ne fallait pas s’attendre à ce qu’il bouleverse le statu quo. Or, la nouvelle structure imposée par Juncker au sein de la Commission vient considérablement chambouler la manière dont les choses fonctionnent à Bruxelles.
MADRID – Antérieurement à sa désignation au poste de président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker n’a cessé de subir la foudre de détracteurs le décrivant comme un fédéraliste de la vielle école, dont il ne fallait pas s’attendre à ce qu’il bouleverse le statu quo. Or, la nouvelle structure imposée par Juncker au sein de la Commission vient considérablement chambouler la manière dont les choses fonctionnent à Bruxelles.