La circonscription la plus riche des États-Unis est celle qu'on appelle « la circonscription des aristocrates » de l'Upper East Side dans la ville de New York, avec un revenu per capita de 41 151 dollars par an. La circonscription la plus pauvre des États-Unis est largement composée d'une population d'émigrés hispanisants à Los Angeles, avec un revenu per capita de 6 997 dollars par an. En 1973, le cinquième le plus pauvre des foyers américains avait un revenu de 13 240 dollar par an en moyenne (en valeur courante) ; en 2000, le revenu moyen du cinquième le plus pauvre des foyers américains était identique : 13 320 dollars par an. Par ailleurs, les 5% des foyers américains les plus riches en 1973 recevaient un revenu moyen de 149 150 dollar par an, et en 2000, les 5% les plus riches avaient un revenu moyen de 254 840 dollars par an. L'augmentation des inégalités sociales fut suffisamment important pour stimuler les revenus des classes aisées aux deux tiers sur une période de temps où les revenus des classes moyennes n'augmentèrent que de 10% tandis que les revenus les plus faibles n'augmentaient pas du tout.
La circonscription la plus riche des États-Unis est celle qu'on appelle « la circonscription des aristocrates » de l'Upper East Side dans la ville de New York, avec un revenu per capita de 41 151 dollars par an. La circonscription la plus pauvre des États-Unis est largement composée d'une population d'émigrés hispanisants à Los Angeles, avec un revenu per capita de 6 997 dollars par an. En 1973, le cinquième le plus pauvre des foyers américains avait un revenu de 13 240 dollar par an en moyenne (en valeur courante) ; en 2000, le revenu moyen du cinquième le plus pauvre des foyers américains était identique : 13 320 dollars par an. Par ailleurs, les 5% des foyers américains les plus riches en 1973 recevaient un revenu moyen de 149 150 dollar par an, et en 2000, les 5% les plus riches avaient un revenu moyen de 254 840 dollars par an. L'augmentation des inégalités sociales fut suffisamment important pour stimuler les revenus des classes aisées aux deux tiers sur une période de temps où les revenus des classes moyennes n'augmentèrent que de 10% tandis que les revenus les plus faibles n'augmentaient pas du tout.