WASHINGTON, DC – L'ancien Secrétaire américain au Trésor Lawrence H. Summers a dernièrement lancé avec malice : « Le stimulant fiscal est comme une drogue avec ses effets de tolérance : pour garder la croissance constante, les déficits doivent continuer à augmenter. » Les gens comme Summers s'inquiètent des déficits parce qu'ils doutent que l'argent que le gouvernement emprunte soit dépensé de manière à encourager la croissance à long terme du PIB au-dessus de celle de la dette. À moins que le dosage des dépenses ne change, le ratio dette/PIB va continuer à augmenter, ce qui laisse prédire une catastrophe.
WASHINGTON, DC – L'ancien Secrétaire américain au Trésor Lawrence H. Summers a dernièrement lancé avec malice : « Le stimulant fiscal est comme une drogue avec ses effets de tolérance : pour garder la croissance constante, les déficits doivent continuer à augmenter. » Les gens comme Summers s'inquiètent des déficits parce qu'ils doutent que l'argent que le gouvernement emprunte soit dépensé de manière à encourager la croissance à long terme du PIB au-dessus de celle de la dette. À moins que le dosage des dépenses ne change, le ratio dette/PIB va continuer à augmenter, ce qui laisse prédire une catastrophe.