BERKELEY – Les transitions entre deux présidences ne sont jamais simples, en particulier dans le cas où le président sortant a perdu les élections. Mais cette fois, la transition a lieu au beau milieu d'une crise sans précédent. Le président sortant refuse de reconnaître la légitimité du scrutin, puisque ce dernier sanctionne le rejet de ses politiques. En outre, il éprouve une haine viscérale à l'encontre du président élu, qu'il accuse de malhonnêteté et ne prend pas au sérieux, en le trouvant trop frêle pour assumer les fonctions de président. Il taxe son successeur de socialiste et de défenseur de mesures qui risquent de ruiner le pays.
BERKELEY – Les transitions entre deux présidences ne sont jamais simples, en particulier dans le cas où le président sortant a perdu les élections. Mais cette fois, la transition a lieu au beau milieu d'une crise sans précédent. Le président sortant refuse de reconnaître la légitimité du scrutin, puisque ce dernier sanctionne le rejet de ses politiques. En outre, il éprouve une haine viscérale à l'encontre du président élu, qu'il accuse de malhonnêteté et ne prend pas au sérieux, en le trouvant trop frêle pour assumer les fonctions de président. Il taxe son successeur de socialiste et de défenseur de mesures qui risquent de ruiner le pays.