CAMBRIDGE – A la prochaine grande crise financière, on ne pourra pas dire que le FMI n'a rien fait pour l'anticiper. Il vient de proposer deux nouvelles taxes universelles sur les institutions financières, l'une qui serait sensiblement proportionnelle à leur taille, et l'autre qui s'appliquerait à leurs profits et aux primes qu'elles versent. Comme on pouvait s'y attendre, le secteur financier a réagit par le dédain et la dérision.
CAMBRIDGE – A la prochaine grande crise financière, on ne pourra pas dire que le FMI n'a rien fait pour l'anticiper. Il vient de proposer deux nouvelles taxes universelles sur les institutions financières, l'une qui serait sensiblement proportionnelle à leur taille, et l'autre qui s'appliquerait à leurs profits et aux primes qu'elles versent. Comme on pouvait s'y attendre, le secteur financier a réagit par le dédain et la dérision.