NEW YORK – Nos ancêtres ont toujours redouté que la colère des dieux ne mette fin à notre monde. C’est seulement récemment que nous avons développé la capacité à le faire nous-mêmes, que ce soit par le changement climatique, les armes nucléaires, l’intelligence artificielle ou la biologie de synthèse. Si notre faculté à provoquer des dommages à l’échelle planétaire a augmenté de manière exponentielle en parallèle des avancées technologiques, cela n’a pas été le cas de nos moyens de gérer ces nouveaux pouvoirs avec responsabilité. Si l’humanité entend survivre et prospérer, il va falloir changer cela.
NEW YORK – Nos ancêtres ont toujours redouté que la colère des dieux ne mette fin à notre monde. C’est seulement récemment que nous avons développé la capacité à le faire nous-mêmes, que ce soit par le changement climatique, les armes nucléaires, l’intelligence artificielle ou la biologie de synthèse. Si notre faculté à provoquer des dommages à l’échelle planétaire a augmenté de manière exponentielle en parallèle des avancées technologiques, cela n’a pas été le cas de nos moyens de gérer ces nouveaux pouvoirs avec responsabilité. Si l’humanité entend survivre et prospérer, il va falloir changer cela.