MELBOURNE – Les pays riches – ou les investisseurs de ces pays – doivent-ils ou non acquérir des terres agricoles dans les pays en développement ? C’est la question posée par le rapport « Transactions foncières transnationales pour l’agriculture dans l’hémisphère sud », publié l’an dernier par le Partenariat Land Matrix, un regroupement d’instituts de recherche européens et d’organisations non gouvernementales.
MELBOURNE – Les pays riches – ou les investisseurs de ces pays – doivent-ils ou non acquérir des terres agricoles dans les pays en développement ? C’est la question posée par le rapport « Transactions foncières transnationales pour l’agriculture dans l’hémisphère sud », publié l’an dernier par le Partenariat Land Matrix, un regroupement d’instituts de recherche européens et d’organisations non gouvernementales.