NEW YORK – Lors d’une récente conférence de presse, un petit groupe de journalistes libériens ont eu le courage dire qu’ils touchaient des pots de vins. Pour compléter leurs fins de mois et des salaires qui ne dépassent pas, parfois, 40 dollars mensuels, ils disent accepter que les personnes sur lesquelles ils écrivent les paient elles-mêmes.
NEW YORK – Lors d’une récente conférence de presse, un petit groupe de journalistes libériens ont eu le courage dire qu’ils touchaient des pots de vins. Pour compléter leurs fins de mois et des salaires qui ne dépassent pas, parfois, 40 dollars mensuels, ils disent accepter que les personnes sur lesquelles ils écrivent les paient elles-mêmes.