BERLIN – Des deux côtés de l’Atlantique, on assiste à un inquiétant glissement politique vers la droite, indissociable de l’influence croissante exercée par des partis politiques nationalistes et par des figures de la vie publique ouvertement chauvines : un Donald Trump aux États-Unis, une Marine Le Pen en France. Mais d’autres noms peuvent s’ajouter à la liste : celui du Premier ministre hongrois, qui prône une « démocratie non libérale » ou encore de Jaroslaw Kaczinsky et de son parti quasi autoritaire, Droit et justice, qui gouverne désormais la Pologne.
BERLIN – Des deux côtés de l’Atlantique, on assiste à un inquiétant glissement politique vers la droite, indissociable de l’influence croissante exercée par des partis politiques nationalistes et par des figures de la vie publique ouvertement chauvines : un Donald Trump aux États-Unis, une Marine Le Pen en France. Mais d’autres noms peuvent s’ajouter à la liste : celui du Premier ministre hongrois, qui prône une « démocratie non libérale » ou encore de Jaroslaw Kaczinsky et de son parti quasi autoritaire, Droit et justice, qui gouverne désormais la Pologne.